vendredi 26 mai 2017

La vie pas à pas 2017 # 19

Lundi 8 mai
Après une promenade en amoureux sur le port inondé de soleil et un déjeuner tranquille il faut pourtant bien rentrer. On rentre avec difficulté ma nouvelle et énorme malle dans la petite Fiat 500 de location et on met les voiles avec des œufs des poules et des plants pour le jardin de Sœur. Au bout de 10 km on se prend un méchant caillou et un impact sur le pare-brise qui va s'agrandissant. Nous sommes ravis il va sans dire. Déchargement, soirée tranquille. Je commence le visionnement de the Paradise. Adaptation libre du bonheur des dames par la BBC qui augure assez bien.

Mardi 9 mai
Mon ancienne collègue Hélène qui a déménagé il y a quelques mois du cote de Toulouse revient nous voir pour déjeuner (nous allons au bebe qui s’avère fort sympathique). Le soir après un détour librairie c'est sport et j'arrive presque à finir ma séance, youpi ! 

Mercredi 10 mai
En sortant je fais un détour par la mission bretonne pour consulter la base Dastum. Et je découvre que ça ne peut plus se faire sur place. Ah. Heureusement grâce à la gentille Camille et un joli tour de passe passe j'arrive quand même à écouter le morceau dont j'avais besoin de la référence et donc à avoir confirmation que c'est bien celui-là que nous avons repris avec les Conteuses. En attendant dame Léo je bois un cocktail en lisant un bouquin mais mon déjeuner est loin et j'ai tout de suite la tête qui tourne. Puis on dine au Noura en tentant de rattraper ces derniers mois où l'on était toutes les deux débordées. Je ne rentre pas trop tard et en profite pour faire du rangement d'appartement, plus précisément de table de couture puisque j'ai une nouvelle malle à tissus. Elle est si grande qu'une fois tout mis dedans il y reste encore de la place (et pourtant du tissus en attente, j'en ai). J'en profite pour faire quelques réparations sur des ouvrages qui trainent depuis bien trop longtemps, il faut vraiment que je couse plus régulièrement. 

Jeudi 11 mai
Après le cour de chant je retrouve Wirggy pour diner. L'iris étant temporairement fermé ce sera Happy nouilles où l'on se retrouve pressurisées par la serveuse parce qu'on occupe une table de 4 en étant deux (on attends monMari) et comme en plus on est assises sans commander, ça fait baisser le rendement. monMari arrive donc pour occuper sa place juste avant qu'on place un couple d'inconnus là sous son nez, quel sens du timing ! Soirée au quiet tranquille. 

Vendredi 12 mai
Ce soir c'est réunion d'importance pour les Conteuses car il est temps de faire les derniers retours sur mixage et de choisir l'ordre des morceaux du disque. On en profite aussi pour commenter la premier esquisse de pochette que j'ai faite et je repars avec plein de boulot. 

Samedi 13 mai
Difficile de se lever. On a rendez-vous pour déjeuner chez P. et L. mais comme on part tard et qu'en plus on doit faire un stop au magasin de jardinage ce sera un déjeuner tardif. A défaut de renouveler mon jasmin j’achète une glycine d'1m 80 rentre difficilement dans la voiture ou elle devra pourtant rester toute l'après-midi. L’après-midi sera donc mi-repetition mi-jardinage car nous devons préparer le spectacle de conte et profiter de l'entracte pour abattre les arbres et dégager un espace qui devrait permettre demain de poser la balançoire. S. le dernier petit arrivé de la famille est un bébé avec une motte de cheveux mais pas un gros pleureur. Ça reste fatiguant pour les parents mais ils ont l'air heureux. Puisque nous sommes dans le coin nous passons la soirée au bal de la frat' qui a invité Lisa Wolf et Carré de deux. On danse pas mal et je suis bien sure ravie de revoir nos hôtes de Bourgogne. Sans s’éterniser on reste aider à ranger et on est au lit à plus d'une heure du matin.

Dimanche 14 mai
Aujourd'hui aussi il faudrait ne pas partir trop tard, si je ne petit-déjeune pas, je trouve par contre le temps de rempoter la glycine pour laquelle je ne trouve malheureusement pas la place idéale.

 
On file ensuite direction le nord de Paris au bal du Borrego, comme il s'agit de la fête générale de la mjc, l'association la bourrache ne s'est pas vue attribuer sa salle habituelle mais la partie gymnase du bâtiment. Avec un plafond de taule à plus de 4 mètres de haut, la salle est un beau cauchemars pour les ingés son. Comme on ne s'est pas motivé assez vite on a raté la partie initiation aux danses musettes (c'est musette et folk cet après-midi) et je ne connais donc pas une grosse partie des danses qui se jouent. Vers 16h je dois filer et je ne verrai donc pas passer la FRAP (le groupe de monMari). Rendez-vous pour l'atelier de Catherine Perrier où l'on fait comme souvent de bien belles chansons. J'en profite pour discuter avec Sophie de l'intervention à son lycée l'année prochaine. Dans le cadre du concours national de la résistance elle voudrait faire apprendre des chansons anciennes à ses élèves et m'a demandé si je voulais bien être intervenante. Je n'ai jamais fait ça mais il faut bien commencer quelque part et le projet me plaisant, j'ai dit oui. Après le cours, Catherine logeant chez nous nous retournons ensemble vers le Borrego ou de nombreuses personnes qui ne l'on pas vu depuis longtemps son bien heureux de la retrouver. L'après-midi de la mjc à ramené très peu de monde et le plaisir de la voir atténue pas mal la déception éprouvée par les organisateurs. Après une grande plage de discussion nous rentrons tous les 3 à la maison diner et discuter à bâtons rompus jusqu'à 1h du matin. Je n'ai pas hâte de retourner au boulot demain.

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